Les jeux ; sont présents dans les jeux de l'imagination, la socialisation, la transgression, l'évolution, la détermination de règles. C'est dans le jeu que l'enfant se trouve dans l'esprit de liberté et d'initiative et que l'on perçoit la personnalité des enfants. Le jeu permet l'affirmation et la comparaison.
«Le jeu, c'est moins le paradis enfantin que le seul domaine où nous leur laissons un peu de liberté, d'initiative (…). Il sait que le jeu c'est son droit (…). En jouant (…), l'enfant décharge son trop plein d'énergie (…) qui lui permettent de vivre quelques moments d'illusions agréables ou de fuir consciemment la grisaille de la vie (…). Les présence des adultes et des étrangers gêne les enfants. Ils ont honte de leur jeux parce qu'ils ont conscience de leur futilité.
Ils savent que la vraie vie est ailleurs et leurs amusements expriment leur nostalgie douloureuse, couvrent un manque et une amertume réelle. (…) C'est la contrainte qu'il subit quotidiennement qui le force de recourir au jeu où il fuit l'ennui, le vide, les devoirs qui l'assomment».
«Est-ce à dire que l'enfant n'aime pas travailler ? (…) De nombreux jeux d'enfants représentent en fait un vrai travail. Quand ils construisent à quatre une cabane n'ayant pour outils qu'un morceau de tôle, quelques débris de verre et quelques clous et réussissent à enfoncer des piquets, à attacher des branches, à tapisser le sol de mousse et, tantôt silencieux, tantôt bavard, parfois maladroits, mais toujours projetant une amélioration iles mettent à profit leurs expériences individuelles – ce n'est pas un jeu mais un travail, un travail d'amateurs, mais un travail quand même.» _ Comment aimer un enfant. (1998,pp.101-103).
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