En fonction des publics que nous voulons servir, nous pouvons cerner les usages souhaitables d'une fonte et déterminer ensuite en quoi les fontes libres permettent l'introduction de bonnes pratiques autour de ces usages.
Les usages souhaitables d'une fonte sont au moins de trois ordres :
Pour un graphiste travaillant sur des oeuvre utilisant des langues moins connues, les usages souhaitables d'une fonte, s'ils peuvent recouvrir les usages évoqués précédemment incluent davantage une dimension fonctionnelle et peuvent donc s'étendre aux principes suivants :
Il est important de noter que les usages des uns induisent les usages des autres. Il paraît en effet difficile d'envisager l'évolutivité linguistique sans introduire une part de plasticité ; de même qu'il paraît impensable de dissocier totalement l'interopérabilité d'une part et la portabilité et le partage d'autre part. Les perspectives peuvent être parfois très plurielles mais la dimension collaborative du logiciel libre facilite grandement les progrès communs de la création de ressources mutuellement partagées et dans l'émulation joyeuse que ces échanges radicalement neufs peuvent souvent provoquer.
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